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dc.contributor.authorZangara, Adriana
dc.date.accessioned2018-05-09T13:22:13Z
dc.date.available2018-05-09T13:22:13Z
dc.date.issued2016
dc.identifier.issn1505-9065
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/11089/24701
dc.description.abstractAs long as history was considered as magistrae uitae, it was necessary to give the readers the impression that they were seeing the recounted events and taking part in them, so that they could live them by proxy and gain from the experience of others. Relative to this pedagogical function of historical narrative, we will investigate the various devices of hypotyposis – the para- taxis, the entering into details and the piling them up, the disappearance of the locutor – as well as its powers of exhibition, emotion and persuasion. In order to identify the founding and problematic bound between the hypotyposis to the experience – which implies both accounting for the lived experience and passing it on – we will go behind the rhetorical definition of “figure of style” to what appears to be the first form of the art of making visible. Our aim is, simultaneously, to help clarify the complex relationship between history and rhetoric from Antiquity to the Renaissance and to offer an analysis of the contradiction attached to the name hypotyposis: a “description given in broad outlines” and a “detailled and evident description”.en_GB
dc.description.abstractAussi longtemps que l’histoire a été considérée comme magistra uitae il a fallu que ses lecteurs puissent avoir l’impression, en la lisant, d’assister et de participer aux événements racontés afin de vivre, par procuration, l’expérience d’autrui. C’est par rapport à cette fonction pédagogique du récit historique en tant que récit d’expérience que nous voudrions interroger les procédés qui caractérisent l’hypotypose (la parataxe, la précision et l’accumulation des détails, l’effacement du locuteur) ainsi que les pouvoirs (de « monstration », d’émotion et de persuasion) qui lui sont attribués. Il s’agira de revenir, en amont de la définition rhétorique de la « figure de style », vers ce qui est sans doute une matrice originaire de l’art de « faire voir » pour retrouver le lien fondateur et problématique qui relie l’hypotypose à l’expérience et à la double exigence d’en rendre compte et de la transmettre à autrui. Nous escomptons ainsi éclaircir quelques aspects du rapport entre histoire et rhétorique depuis l’Antiquité et jusqu’à la Renaissance, et analyser la contradiction qui caractérise le nom même d’hypotypose – « description à grand traits » et « description évidente » – ainsi que sa relation étrange avec son quasi paronyme : la diatypose.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherWydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiegofr_FR
dc.relation.ispartofseriesActa Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica; 11
dc.subjectexperienceen_GB
dc.subjecthistorical narrativeen_GB
dc.subjectAntiquityen_GB
dc.subjectRenaissanceen_GB
dc.subjecthypotyposisen_GB
dc.subjectexperiencefr_FR
dc.subjectnarration historiquefr_FR
dc.subjectAntiquitéfr_FR
dc.subjectRenaissancefr_FR
dc.subjecthypotyposefr_FR
dc.titleL’expérience par procuration : l’hypotypose et la narration historique de l’Antiquité à la Renaissancefr_FR
dc.title.alternativeThe Experience by Proxy: Hypotyposis and Historical Narrative from Antiquity to the Renaissanceen_GB
dc.typeArticlefr_FR
dc.rights.holder© Copyright by Authors, Łódź 2016; © Copyright for this edition by Uniwersytet Łódzki, Łódź 2016fr_FR
dc.page.number25-40
dc.contributor.authorAffiliationTriangle, UMR 5206
dc.identifier.eissn2449-8831
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dc.contributor.authorEmailadriana.zangara@gmail.com
dc.identifier.doi10.18778/1505-9065.11.03


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