Sprawa ochrony praw mniejszości żydowskiej w Polsce w dobie konferencji pokojowej w Paryżu w 1919 roku
Abstract
Cet article présente la lutte pour la protection internationale des minorités après la I-ère
guerre mondiale. Les Juifs constituaient une force qui cherchait à mettre en vigueur le système de leur protection ainsi que des autres minorités dans les pays de l’Europe Centrale et de
l’Est. Leurs arguments se référaient aux mauvaises expériences dans le passé dans cette partie
de l’Europe ainsi qu’à la situation compliquée et tendue des Juifs après la I-ère guerre
mondiale. Avec l’espoir d’obtenir les garanties juridiques dans le cadre du nouvel ordre, ils
multipliaient leurs efforts afin d ’atteindre le but déjà présenté. Ils se heurtaient pourtant contre
l’approche négatif des étals nouvellement crées dans cette région européenne y compris la
Pologne. Pour celle-ci l’imposition de la protection des minorités nationales avec les garanties
de la Société des Nations aurait du être incompatible avec sa souveraineté. En plus, cela
aurait pu introduire au sein du droit international le partage entre les états qui imposent les
engagements face aux minorités et les états qui tiennent à ces engagements. Enfin, cela aurait
généré le danger de l’éckatcment à l’intérieur d ’un étal donné causé par les minorités qui lui
seraient hostiles (en cas de l’acceptation des principes de l’autonomie culturelle et nationale).
Dans cette situation les Grandes Puissances devaient trouver un compromis satisfaisant pour
elles- mêmes. Cela s’exprime sous forme de Traité de Versailles signé par la Pologne le 28 VI 1919.
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