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dc.contributor.authorKaczmarek, Tomasz
dc.date.accessioned2022-08-12T11:14:27Z
dc.date.available2022-08-12T11:14:27Z
dc.date.issued2022-08-12
dc.identifier.issn1505-9065
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/11089/42764
dc.description.abstractRolland Dubillard’s House of Bones is openly situated in the wake of “rhapsodic dramaturgy” which challenges the constraints of the canonical form that Szondi has defined as “absolute drama”. Not being based on a great conflict, the construction of the work does not respect the dynamics of the action (incidentally, non-existent), while focusing on the confrontation of a protagonist with oneself. Thus, the intersubjective, on which a traditional play is built, gives way to the extrasubjective which manifests itself, in this case, through a polyphonic monodrama. In fact, by studying Dubillard’s text, we see that the French author renounces the old paradigm in order to explore better the interiority of the main character. He leads a solitary life, surrounded by his many servants who seem to be the pale reflections of his torn soul. Freeing himself from the monologue, the writer conceives in this way a monodrama with several voices. This process does not, however, signify the crisis of the genre, because it constitutes one of the solutions allowing its evolution.en
dc.description.abstractLa Maison d’os de Rolland Dubillard se situe explicitement dans le sillage de la « dramaturgie rhapsodique » qui remet en cause les contraintes de la forme canonique que Szondi a définie comme le « drame absolu ». N’étant pas fondée sur un grand conflit, la construction de l’œuvre ne respecte pas la dynamique de l’action (au demeurant, inexistante), tout en se concentrant sur la confrontation d’un protagoniste avec lui-même. Ainsi, l’intersubjectif, sur lequel est bâtie une pièce traditionnelle, cède la place à l’intrasubjectif qui se manifeste, en l’occurrence, au travers d’un monodrame polyphonique. De fait, en étudiant le texte de Dubillard, on constate que l’auteur renonce à l’ancien paradigme pour mieux explorer l’intériorité du personnage principal. Celui-ci mène une vie de solitaire, entouré par ses nombreux valets qui semblent les pâles reflets de son âme déchirée. S’affranchissant du monologue, l’écrivain conçoit de cette manière un monodrame à plusieurs voix. Ce procédé ne signifie pourtant pas la crise du genre, il constitue une des solutions permettant son évolution.fr
dc.language.isofr
dc.publisherWydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiegopl
dc.relation.ispartofseriesActa Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica;1fr
dc.rights.urihttps://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0
dc.subjectRoland Dubillarden
dc.subject“absolute drama”en
dc.subjectcrisis of the theateren
dc.subject“rhapsodic dramaturgy”en
dc.subject“polyphonic drama”en
dc.subjectRoland Dubillardfr
dc.subject« drame absolu »fr
dc.subjectcrise du théâtrefr
dc.subject« dramaturgie rhapsodique »fr
dc.subject« monodrame polyphonique »fr
dc.titleExtérioriser l’intime ou la crise permanente du théâtre. "La Maison d’os" de Roland Dubillard : « monodrame polyphonique » ?fr
dc.title.alternativeExternalize the Intimacy or the Permanent Crisis of the Theater. Roland Dubillard’s "House of Bones": “Polyphonic Monodrama”?en
dc.typeArticle
dc.page.number143-154
dc.contributor.authorAffiliationUniversity of Łódźfr
dc.identifier.eissn2449-8831
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dc.contributor.authorEmailtomasz.kaczmarek@uni.lodz.pl
dc.identifier.doi10.18778/1505-9065.17.1.12
dc.relation.volume17


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