W parku z Raymondem Rousselem – anamorfoza i ornament

Abstract

The article is devoted to the semantic and composition functions of the figure of a park/garden in Raymond Roussel’s novel Locus Solus. The issue discussed in this paper concerns a pretextual function of fictional space for the narration mode and sequential order of the novel. An attempt is made to supplement the dominant structuralist tradition of interpreting Roussel’s work, for example, with the concepts appearing in Maria Gołaszewska’s eco-aesthetic approach and Arnold Berleant’s environmental aesthetics. The proposed direction of reflections allows us to see in the rhetorical aspects of Roussel’s style, among which numerous hyperboles particularly attract the reader’s attention, a narrative method of anthropologically understood imaginary structures. These structures were based on the systems of objects, whose task, apart from rhetorical and cultural deluding, governed by the poetics of absurd, is to determine an anthropological point of observation in the very problem of visual experience connected with the walk in the park, intended by Roussel as an integral element of the plot. The article points out that the main problem of the novel is garden space seen from the perspective of visual anthropology, with the cultural pattern of an imaginary structure determined by the space. This space is given the function of disinterested narrating. According to the author of the proposed analyses, the meaning of such an understood visual metaphor is carried by two primary figures inscribed in the space of the garden: anamorphosis and ornament.

L’article est consacré aux fonctions sémantiques et aux fonctions composantes de la figure du parc / jardin dans le roman de Raymond Roussel Locus Solus. Le problème présenté concerne l’emploi prétexte de l’espace fictionnel pour une gestion de la narration et de la composition successive de l’histoire. Le texte essaye de compléter la tradition structuraliste de l’interprétation liée à la création artistique de Roussel, entre autres les notions associées à la pensée eco-esthétique de Maria Gołaszewska et à l’esthétique environnementale d’Arnold Berleant. Dans les aspects rhétoriques du style de Roussel marqués par de nombreuses hyperboles, l’analyse proposée permet de remarquer une méthode narrative des structures de l’imaginaire au sens anthropologique. Elles sont fondées sur les systèmes d’objet dont la fonction est de constituer un point d’observation anthropologique dans le problème de l’expérience visuelle liée à la ballade fictive par le parc inventé par Roussel. Selon l’article, le problème principal du roman c’est l’espace du parc en tant qu’un des sujets de l’anthropologie visuelle et l’archétype culturel de la structure imaginaire défini par cet espace. L’espace joue le rôle d’un récit désintéressé. Cette métaphore optique se manifeste dans deux figures supérieures inscrites dans l’espace du parc: anamorphose et ornement.