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Polska wobec stanowiska Niemiec w kwestii rozbrojenia w latach 1932—1933

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fh42Bogusław_Rakowski157_174.pdf (2.655Mb)
Date
1991
Author
Rakowski, Bogusław
Metadata
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Abstract
L'un des buts prinipaux de la Pologne au cours de la Conférence du Désarmement était de ne pas permettre l'annulation des clauses militaires du Traite de Versailles. On soutenait donc d’une manière décidée la thèse française „la sécurité d'abord — le désarmement ensuite" et le Plan Tardieu contenant cette thèse. L'aspect allemand jouait le rôle très important quant à la formulation par la diplomatie polonaise de la proposition sur le désarmement moral. L'évolution des év énements pendant la Conférence (l’attitude favorable aux puissances anglosaxones face aux exigences allemandes, la faiblesse de la France et son désinté ressement envers les intérêts polonais) ainsi nue la campagne révisionniste de plus en plus forte en Allemagne inquiétaitent la Pologne. C'est d'une manière particulièrement critique qu'au bord de la Vistule on prenait connaissance de la déclaration des cinq puissances (décembre 1932) accordant à l'Allemagne l'égalité des droits dans le domaine de l’armement La diplomatie polonaise s'opposait au contenu de la déclaration et à la méthode qui a permis sa conclusion, c'est-à dire au directorial des puissances. Le plan polonais du minimum du désarmement (février 1933) peut être considéré comme un essai de ralentissement de la course des changements défavorables à la Pologne (l'cgalité des droits, la standarisation de l'armée) et la démonstration de la souveraineté L'analyse des évén ements a mené les milieux officiels polonais à la nécessité de la recherche de nouvelles garanties de sécuritéi on a bientôt entrepris les essais de signer un accord direct avec l'Allemagne qui a été possible quand celle-là a quitté (octobre 1933) la Conférence et la Société des Nations Les grouppements polonais d’opposition (sauf les socialistes) s'opposaient fermement aux revendications allemandes de l'egalité des droits, on percevant une liaison etroite entre l'ćtat de l’armement allemand et la sécurité de la frontière de l'ouest. Les socialistes se prononçaient pour l'égalité des droits mais acquis sur la voie du désarmement général (l’attitude des communistes a été pareille). Cette opinion jévolué après la victoire des nazi. Les groupes de gauche et de centre liaient la critique des revendications militaires allemandes à la lutte contre le fascisme. Ils s'opposaient d'une manière decidée aux pourparlers polono-allemands. La possibilité de raccord avec Berlin, quoique sous réserve a été soutenu par le camp national.
URI
http://hdl.handle.net/11089/14996
Collections
  • Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica 1991, nr 42 [14]

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