Jan Chryzostom o leczeniu i lekarzach
Streszczenie
C’est dans la médicine que Jean Chrysostome (environ 354-407), l’un des plus féconds Pères de
l’Église, avait bien souvent puisé ses exemples et ses comparaisons. Ces informations qui sont
insérées dans ses oeuvres jéttent une certaine lumière sur l’attitude de la société envers la science
médicale et les médecins. Il estimait beaucoup la science médicale parce que selon lui, grâce à elle,
un homme pouvait entretenir son corps en bonne santé et, par là, l’âme pouvait atteindre le salut
étemel. Il fit la connaissance de quelques théories scientifiques pendant ses études à l’école de
Libanios. Il appréciait aussi hautement ceux des médicins qui se distinguaient par leur savoir, leur
activité professionelle respectant les régies de l’art médical. Un tel médecin était entouré d’une
grande dose de confiance et même dans des situations sans espoir les malades se fiaient à eux. Cela
incitait les médecins à des recherches de moyens curatifs nouveaux. Jean Chrysostome ne
condamne pas les médecins qui persuadés de l’inefficaoement de leur traitement le cessait. Dans les
cabinets médicaux les médecins donnaient des consultations, auscultaient, faisaient des opérations,
préparaient des médicaments et les vendaient. Jean Chrysostome mentionne surtout le travail des chirurgiens, ne parlant guéde du côte technique
de l’opération, par contre, il redonne, d’une façon plastique, l’atmosphère dans laquelle elle se
réroulail. Il assure qu’il connaît un bon nombre de maladies, mais le plus souvent, il cite celles qui
découlaient de la gloutonnerie et de l’ivrognerie. En tant que moraliste fervent et ascète il
combattait avec acharnement les défaut des couches sociales riches en y voyant un obstacle sur le
chemin du salut éternel. Dans cette lutte il se servait des arguments qu’il les trouvait dans la science
médicale et il fraisait appel à l’autorité des médecins. Parmi les méthodes de traitement, à côte de la
chirurgie, il cite l’hydrothérapie, la cure de climat, la diète et l’application du principe de
contradiction. Il attribue un rôle de premier plan aux médicaments préparés par les médecins. De
la lecture de ses oeuvres on a l’impression que le traitement était très répendu bien qu’il soit lié
à des frais importants. Il est évident que les médecins accommodaient le montant des honoraires
aux possibilités matérielles des malades. Les médecins publiques traitaient Is pauvres gratuitement.
Les voyageurs pauvres et les misérables profitaient de l’aide médicale dans les institutions appelées
xenon, katagogion, nosokomeion, administrées par l’Église du IVe siècle.
Jean Chrysostome était tellement convaincu dans les grandes possibilités de la science et de l’art
médicale qu’il ne pouvait croire aux préjugés populaires. Ce n’est que dans une homélie qu’il parle
de guérisons miraculeuses qui, parait-il, avaient eu lieu auprès des tombes des saints martyrs.
Pourtant le fait, que Jean Chrysostome de nature rationaliste n’a pu résister à une conviction
croissante de la force guérison surnaturel des saints, témoigne de rôle grandissant de cette
tendance, dans laquelle, la théorie médicale et la foi coexistaient dans la conscience de générations
des Byzantins.
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