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dc.contributor.authorGrobis, Jerzy
dc.date.accessioned2015-11-25T11:50:03Z
dc.date.available2015-11-25T11:50:03Z
dc.date.issued1984
dc.identifier.issn0208-6050
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/11089/14372
dc.description.abstractDans l'article on a présenté las principes d'éducation qu'on suivait dans la famille puritaine de J. Adams dans la colonie de Massachusets. C'est la mère de J. Q. Adams, Abigail née Smith, qui exerçait une influence considérable sur l’éducation de son fils. C’était une femme, ayant beaucoup lu, aux larges horizons intellectuels. Sa correspondance avec son mari et ses enfante est aujourd'hui considérée comme exemple classique de l'art épistolaire américain. C'est pendant la guerre d'indépendance que l'influence de la mère sur son fils était particulièrement forte. J. Adams, le père de J. Q. Adams, engagé dans une grande politique, apparaissait rarement et pour de courtes durées dans la maison natale des Adams à Braintree. J. Q. Adams restait donc souis la tutelle de «a mère et c'est à la maison qu'il acquit l'essen tiel de ses connaissances. A sa mère, il devait la connaissance du français e t du latin ainsi que le discernement fondamental dans la littérature européenne, notamment celle anglaise. J. Thaxter, le professeur privé, lié d’amitié avec la maison d'Adams, lui transmettait le cours systématique des connaissances. L’enfant était largement curieux de tout, d’une façon mûre au delà de toute expression. Son père é v e illa chez lui l’intérêt à l'histoire, notamment à l’histoire antique. A l'âge de 10 ans le garçon lisait les oeuvres de Polibius, Tacite, Ciceron,- parfois c'étaient les fragments des tex te s origihaux. Les parents de John Quincy s'entendaient à merveille sur les principes et les buts éducatifs et dirigeaient savamment l'enseignement de leur fils. Cet en se igne ment formait non seulement son intellect, mais aussi son imagination et sa volonté. La maturation rapide de l'enfant doit être lié e au fait que la maison natale, si souvent quittée par le père de famille, était expo sé e aux dangers de guerre, qui, au cas de Braintree, n'étaient pas abstraits. J. Q. Adams se croyait responsable de sa mere et de seis soeurs et frères. Les parents étaient d'accord que l'instruction et l'éducation de l'enfant doivent être harmonieuses, c. à d., qu’il faut lier l'instruction avec l'éducation, la théorie et la pratique. La correspondance des parents avec leurs enfants, constituant la base de source de cet article, permet de conclure, qu'on voulait faire de J. Q. Adams un „gentleman", conformément à la tradition anglosaxonne. L’enfance de J. Q. Adams n'était pas privée de soucis. Elle n'était que préparation conséquente à la vie dans la société des adultes. Elle décida d'une façon v isible du caractère et du temperament du futur politicien.pl_PL
dc.description.sponsorshipZadanie pt. Digitalizacja i udostępnienie w Cyfrowym Repozytorium Uniwersytetu Łódzkiego kolekcji czasopism naukowych wydawanych przez Uniwersytet Łódzki nr 885/P-DUN/2014 zostało dofinansowane ze środków MNiSW w ramach działalności upowszechniającej naukę.pl_PL
dc.language.isoplpl_PL
dc.publisherUniwersytet Łódzkipl_PL
dc.relation.ispartofseriesActa Universitatis Lodziensis. Folia Historica;18
dc.titleDzieciństwo i wychowanie Johna Quincy Adamsapl_PL
dc.title.alternativeL'enfance et l'éducation de John Quincy Adamspl_PL
dc.typeArticlepl_PL
dc.page.number29-42pl_PL
dc.contributor.authorAffiliationUniwersytet Łódzki, Instytut Historiipl_PL


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