Dzieciństwo i wychowanie Johna Quincy Adamsa
Streszczenie
Dans l'article on a présenté las principes d'éducation qu'on suivait dans la
famille puritaine de J. Adams dans la colonie de Massachusets. C'est la mère de
J. Q. Adams, Abigail née Smith, qui exerçait une influence considérable sur l’éducation
de son fils. C’était une femme, ayant beaucoup lu, aux larges horizons
intellectuels. Sa correspondance avec son mari et ses enfante est aujourd'hui considérée
comme exemple classique de l'art épistolaire américain. C'est pendant la
guerre d'indépendance que l'influence de la mère sur son fils était particulièrement
forte. J. Adams, le père de J. Q. Adams, engagé dans une grande politique, apparaissait
rarement et pour de courtes durées dans la maison natale des Adams à Braintree. J. Q. Adams restait donc souis la tutelle de «a mère et c'est à la
maison qu'il acquit l'essen tiel de ses connaissances. A sa mère, il devait la connaissance
du français e t du latin ainsi que le discernement fondamental dans la
littérature européenne, notamment celle anglaise. J. Thaxter, le professeur privé,
lié d’amitié avec la maison d'Adams, lui transmettait le cours systématique des
connaissances. L’enfant était largement curieux de tout, d’une façon mûre au delà
de toute expression. Son père é v e illa chez lui l’intérêt à l'histoire, notamment à
l’histoire antique. A l'âge de 10 ans le garçon lisait les oeuvres de Polibius, Tacite,
Ciceron,- parfois c'étaient les fragments des tex te s origihaux.
Les parents de John Quincy s'entendaient à merveille sur les principes et les
buts éducatifs et dirigeaient savamment l'enseignement de leur fils. Cet en se igne ment
formait non seulement son intellect, mais aussi son imagination et sa volonté.
La maturation rapide de l'enfant doit être lié e au fait que la maison natale, si
souvent quittée par le père de famille, était expo sé e aux dangers de guerre, qui,
au cas de Braintree, n'étaient pas abstraits. J. Q. Adams se croyait responsable
de sa mere et de seis soeurs et frères. Les parents étaient d'accord que l'instruction
et l'éducation de l'enfant doivent être harmonieuses, c. à d., qu’il faut lier l'instruction
avec l'éducation, la théorie et la pratique.
La correspondance des parents avec leurs enfants, constituant la base de
source de cet article, permet de conclure, qu'on voulait faire de J. Q. Adams un
„gentleman", conformément à la tradition anglosaxonne. L’enfance de J. Q. Adams
n'était pas privée de soucis. Elle n'était que préparation conséquente à la vie dans
la société des adultes. Elle décida d'une façon v isible du caractère et du temperament
du futur politicien.
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