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dc.contributor.authorGrobis, Jerzy
dc.date.accessioned2015-11-05T07:42:14Z
dc.date.available2015-11-05T07:42:14Z
dc.date.issued1996
dc.identifier.issn0208-6050
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/11089/13256
dc.description.abstractL’intérêt de John et John Quincy Adams face à Napoléon avait un caractère professionnel. Ils évaluaient l’activité militaire et politique de Napoléon dans le contexte historique de l’Europe et du monde entier. Ils étaient sûrs que c’était un militaire de génie et homme politique de talent qui devait sa carrière particulière à la révolution française. Grace à ses victoires spectaculaires il devint créateur de la puissance continentale de la France tout en se servant sans gêne de la ferveur révolutionnaire des Français. L’évaluation de Napoléon par les Adams est pragmatique et ne porte pas de traces de la fascination par cette personnalité. Pour les Adams Napoléon fit écrouler l’ordre social et politique de l’Europe, il était brutal et avide du pouvoir. II démolit la république française et en même temps fit croire aux Français et aux républicains européens qu’il était son seul continuateur. Les Adams voyaient en Napoléon un astucieux démagogue servant des idéaux de la révolution française afin de renforcer sa position en Europe et en France. Mais surtout ils analysaient ses désisions politiques et stratégiques ayant joué un rôle particulièrement important pour le continent européen. Ils le considéraient comme facteur déstabilisant pour l’Europe et ne croyaient pas trop dans sa longue carrière politique. La lutte contre la Russie signifiait la fin de ses rêves de la puissance. Un rêve du géant français de la création de la monarchie universelle se fit ensevelir sous la neige de l’hiver rude de 1812. Tout de même selon les deux Adams Napoléon n’est pas une incarnation du mal. Plusieurs décisions politiques et militaires furent provoquées par la Grande Bretagne et la Russie. L’Europe conservatrice et monarchique ne voulait pas accepter cet usurpateur français. Elle le condamna à la justification permanente (militaire) de ses actes. Elle l’encourageait à entamer les guerres. John Quincy Adams en était conscient quand il résidait à la Haie, à Berlin, à pe Petersbourg, à Paris ou à Londres d’où il pouvait suivre les jeux politiques de l’époque. Les Adams définissaient Napoléon comme un risque - tout politique sut pourtant „apprivoiser” des milliers de coeurs humains en Europe. Dans la correspondance diplomatique des Adams (de même que dans celle privée) l’on ne trouvera point les paroles de la condamnation définitive face à Napoléon quand il perdit la bataille de Waterloo. Us le percevaient comme „produit de principes et moeurs de l’époque” ayant utilisé les idéaux du siècle des Lumières pour ses objectifs personnels.pl_PL
dc.description.sponsorshipZadanie pt. Digitalizacja i udostępnienie w Cyfrowym Repozytorium Uniwersytetu Łódzkiego kolekcji czasopism naukowych wydawanych przez Uniwersytet Łódzki nr 885/P-DUN/2014 zostało dofinansowane ze środków MNiSW w ramach działalności upowszechniającej naukę.pl_PL
dc.language.isoplpl_PL
dc.publisherWydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiegopl_PL
dc.relation.ispartofseriesActa Universitatis Lodziensis. Folia Historica;57
dc.titleNapoleon Bonaparte w opiniach Johna i Johna Quincy Adamsów z lat 1796-1817pl_PL
dc.title.alternativeNapoléon Bonaparte dans les opinions de John et John Quincy Adams dans les années 1796-1817pl_PL
dc.typeArticlepl_PL
dc.rights.holder© Copyright by Wydawnictwo Uniwersytetu Łódzkiego, Łódź 1996pl_PL
dc.page.number123-138pl_PL
dc.contributor.authorAffiliationUniwersytet Łódzki, Instytut Historiipl_PL


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