Wieś francuska widziana okiem Polaków czasu Wielkiej Emigracji
Streszczenie
Les descriptions des pays et des sociétés vus par les étrangers sont connus
depuis l'Antiquité. Leur nombre accroit à l'époque moderne. Tout de même dans
les descriptions l'on s'arrête surtout sur les évén ements magnifiques, rares ou
exotiques pour les observateurs. Tout ce qui touchait la vie quotidienne et la
routine rarement remplit les pages des mémoires.
Les historiens en Pologne se réfèrent assez souvent aux images des territoires
et de la vie dans le passe dont parlent les étrangers. Par contre, les historiens
des pays riches et stabiles (par exemple la France) rarement puisent dans de telles
sources des informations sur le passé de la société, les moeurs et le patrimoine
des pays respectifs. Ils feuilletent rarement les mémoires des étrangers et surtout
de ceux qui viennent de l'Est.
Dans la période entre 1831—1870 sur le territoire de la France vivaient les
émigrés polonais — participants des résurrections échouées qui auraient dû apporter
la liberté à la Pologne (1830—1831, 1846, 1848, 1863—1864). Plusieurs d'entre eux
sont les auteurs des mémoires dont la plupart connut le jour. L’auteur de cette
e squisse a étudié 18 mémoires etc et cela constitue une petite partie de liste
d’éditions en question. Tout de même cela contribue largement à la connaissance
de la campagne française par les Polonais venus du pays ou les relations féodales
durèrent jusqu'en 1848 ou 1863. Les recherches prouvent que la plupart des émigrés ne s'intéressaient pas
à l'image social de la campagne française ou bien qu'ils considéraient ce problème
comme peu important. La, il faut dire que ces Polonais vivaient plus au moins
longtemps dans la province française et effectuaient de nombreux voyages à travers
la France. Pourtant il y en avait parmi les émigres ceux qui virent beaucoup.
Un eminent homme politique et écrivain J. U. Niemcewicz qui connaissait la
France de la fin du XVIIIe s. au cour de son voyage en dehors de Paris en 1834
remarqua un énorme progrès surtout dans l'île de France, concernant l'aspect général du pays et l ’état de l'économie à la campagne au cour de 50 ans. En
principe l'on remarqua la croissance du niveau de vie culturelle et matérielle par
rapport à la campagne polonaise à l'exception de la nourriture. On soulignait
surtout un haut niveau de la culture et de la technique agricole bien que cela
n’ait concerné que certaines provinces françaises. Ce qui est intéressent aussi
pour les historiens polonais ce sont des mouvements politiques et la pensée politique
à l’étranger. Il s'avéra que les idéologues ces organisations démocratiques
à Immigration (la Société Démocratique Polonaise 1832—1862) ne s'intéressaient
guère au sort des habitants lus plus pauvres de la campagne et à la situation
des ouvriers agricoles. Par contre ils manifestaient l’admiration face à l’agriculture
„capitaliste" relativement moderne en Europe de l’Est. C'étaient donc en principe
les partisans de l'organisation moderne au sein des fermes bien rentables. Il semble
qu'ils n'avaient pas voulu prendre en considération les conséquences sociales du
processus en question malgré leur programme démocratique.
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