Gmina Narodowo-Socjalistyczna w Paryżu wobec tradycji 3-Majowej

Abstract

Née il y a 100 ans, en 1888 la Communaulé Nationale Socialiste à Paris était l'une des premières organisations faisant parlie du courant d'indépendante dans le mouvement socialiste, polonais. Sur les peges de l'historiographie polonaise après la IIe Guerre Mondiale on la critiquait d'une façon trop partiale. Elle regroupait sous la direction de Stanisław Barański les jeunes étudian's à Paris; dans son programme publié dans les colonnes de son journal „Pobudka" en présentant le socialisme comme système basé sur „les principes de l'égalité économiques, la liberté politique et l'indépendance nationale" elle liait les idées de la révolution sociale à la lutte de l'indépendance de la Pologne. Les membres de la Communauté étaient sous l’influence de la pensée de Bolesław Limanowski; ils s'opposaient à la domination de l'économie sur la politique dans le marxisme, ils interprétaient la révolution „comme la condition des révolutions se faisant au sein des nations différentes"; ils cherchaient leur propre chemin polonais vers le socialisme. Hostiles à l'héritage de la Pologne des nobles, pendant les célébrations entreprises par l’émigration polonaise en 1891, ils critiquèrent sévèrement la Constitution du 3 Mai. Dans les articles publiés dans „Pobudka" les chefs de la Communauté: Stanisław Barański et Jan Lorentowicz prouvaient que la Loi de Mai ayant entrepris les réformes uniquement pour les classes propriétaires; le clergé et la noblesse et non pour le peuple, avaient été „dépourvue de tout contenu révolutionnaire”. Cet'évènement important était donc estimé par aux uniquement du point de vue classes, l'attitude qui découvrait les ncuveaux espaces d'interprétation, mais qui manufestait les dangers (nombreux déjà à l'époque) pour l'historiographie, menant aux conceptions partiales et simplifiées.