Bitwa pod Wiedniem w ujęciu nowszych podręczników
Streszczenie
Presque tous les auteurs des manuels d'histoire sousestiment la valeur de l'une
des plus grandes et des plus éclatantes victoires polonaises. Chacun d'eux a également
un autre avis sur cet événement. Ceci s'explique un peu par le lait que les
manuels sont adressés aux différents publics. Il est évident que les exigeances des
maîtres ne peuvent pas être les mêmes dans les écoles primaires, secondaires ou
enfin dans les écoles destinées aux personnes intéressées par la matière. Dans les manuels en question, on peut trouver également des informations entièrement
fausses (p.ex. le nombre des soldats turcs sous Vienne évalué à 400 milles).
Il convient de remarquer cependant certaines régularités qu'on retrouve dans
la description de la bataille de Vienne. Tout d'abord, dans les années cinquante,
on essayait de présenter la bataille assez précisément. En même temps, on mettait
très en valeur l'apport de l'infanterie et du corps des dragons plébéiens qui ont
décidé de la victoire. Quelque temps plus tard cependant, les descriptions de la
bataille elle-même ont été remplacées par de petits plans — existant déjà avant —
avec les directions de bataille de parties en guerre. A part cela, on a commencé
à apprécier le rôle de la cavalerie. Le fait d'insérer un fragment des sources décrivant
le champ turc vaincu est devenu une nouveauté importante des manuels du
début des années soixante-dix,
On peut remarquer également certaines différences dans l'évaluation du rôle
de cette bataille dans notre histoire. On l'а jugé très sévèrement d’abord, le secours
de Vienne ayant été considéré comme une grande erreur politique. Un peu plus
tard, on a commencé à apercevoir la nécessité et la valeur d'une telle solution.
Il nous reste enfin le dernier problème à résoudre — il s'agit notamment de
déterminer le rôle et la place de cette bataille dans les plans politiques de Jan III
Sobieski. Certains historiens croient que seulement la dépendance des Polonais de
la papauté ainsi que l'égoïsme de la noblesse et dos magnats ont décidé Sobieski
à prende part dans cette bataille. A cela devait s'opposer la politique occidentale
de Jean III, â laquelle on consacre le plus de place. Elle avait pour but de reconquérir
la Prusse et selon certains manuels, aussi la Silésie. On peut retrouver ces
dernières différences dans tous les types manuels parus après la guerre.
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