Dyplomacja francuska a pierwsze „prace rozbrojeniowe" w Lidze Narodów (1920—1922)
Abstract
La diplomatie française prit une attitude pleine de retenue et même hostile
à l'égard du problème de réduction et do limitation des armements. On subordonnait
le processus du désarmement au progrès dans le domaine de sécurité. Les délégués
français soulignaient ce principe dans les commissions de la Société des Nations
examinant le problème do désarmement — la CPC, la CTM, les IIIème et IVème
Commissions. Ils s'opposaient aux projets de bloquer les dépenses militaires et
à la réduction directe des armements de terre (plan d'Esher). Ils liaient la question
du „désarmement moral" au remboursement des réparations dues à la France de la
part de l'Allemagne. Les diplomates français faisaient des démarches pour obtenir
la reconnaissance des alliances militaires de la France pour un élémeift durable de
„sécurité internationale", pour une condition de réduction graduelle des armements.
Cette demande fut prise en considération par la résolution XIV, votée le 23 septembre
1922 pendant la IIIème session de l’Assemblée de la Société des Nations.
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