Klasyfikacja rozruchów społecznych w syryjskiej Antiochii (IV-VI w.)
Streszczenie
La classification des émeutes respectives se base souvent sur des traces et des hypothèses.
Même les théories justifiées inspirent les doutes, qui concernent, le plus souvent, les bagarres
religieuses et celles provoquées par les factions du cirque. Dans ces cas on peut indique
seulement les causes les plus probables.
Malgré ces imperfections il est sur que les émeutes n’étaient jamais, au moins celles que
nous connaissons, accidenteles. Leurs causes étaient variées, parfois elles avaient leur source
dans la sphère des émotions humaines. D’autres sont ressorties de la situation politique,
économique et religieuse de tout l’émpire, Syrie ou Antioche seulement.
En 303, 354 et 387 les émeutes avaient le caractère inconstant. Il est vrai qu’au début elles
sont ressorties des problèmes économique (les difficultés avec l’approvisionement de l’armée en
303, les prix croissants du blé en 354, l’additionnelle imposition en 387) mais elles se sont
transformées en lutte politique. Les émeutes des années 354 et 387 sont certainement le mieux
documentées mais cela ne signifie pas qu’elles avaient un élan et la portée les plus importants.
L’représentation fragmentaire d’autres émeutes ne permet pas le constater. Par example, on
peut dire très peu des événements de 324, de 431 et de ceux des années 30 du Vie. siècle. 11 est
le plus probable que les causes de ces émeutes sont restées seulement dans les difficultés
économiques - il y a eu une grande sécheresse ces années - là et les prix des aliments ont
augmenté. On ne vois pas ici aucune trace des conflits politiques ou d’autres. Vers 313 la foui
assemblée à l’hippodrome, a insulté du empereur parce qu’il n’a pas construit de nouveaux
bâtiments publiques. Ainsi il a privé le peuple d’Antioche de la possibilité des gains additionnels.
Ce n’était pas pourtant la révolte politique contre empereur.
Il est étonnant que selon les sources le nombre des émeutes, excitées par les courses de
chars ou par les apparitions des danseurs pantomimiques, soit bas (les années 488-490, 507,
529 ou 530). Les habitants d’Antioche se passionnaient pour tout ce qui se passait
à l’hippodrome et on peut imaginer que ces émeutes étaient beacoup plus fréquentes.
Dans la vie de toute la ville les émeutes religieuses n’étaient pas un problème. Elles ne se
sont repetées que parmi les chretiens et quatre fois seulement (en 326, 475, 511/512 et vers 531)
et c’est pourquoi elles n’étaient pas la preuve d’une crise de la communauté chrétienne. Le
quatrième siecle était le temps de grandes querelles théologiques. Elles préoccupaient le peuple
le peuple, mais en 326, après la déposition de J’évèque Eustacius, les luttes ont éclaté parce que
le gens défendaient leur favori. Dans ce cas les questions théologiques ont eu la rôle secondaire.
Il n’y avait pas les luttes parmi les chretiens et les païens. Ces derniers étaient trop
indifférents à leurs cultes. Les luttes entre les chretiens et les Juifs étaient une rareté. Nous
connaisson seulement trois situations, mais aucune ne prouve que la différence religieuse des
Juifs était la cause de ces conflicts. Les chrétiens, les païens et les Juifs coexistaient à Antioche
dans le calme.
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