Organizacja i funkcjonowanie polskiej służby zagranicznej w latach 1764-1792. (Próba nowego spojrzenia)
Streszczenie
Un rôle particulièrement important s’il s’agit de l’organisation du service moderne étranger fut
joué par Stanislas Auguste Poniatowski. Selon son initiative l'on créa le Cabinet royal qui jouait
avec un vrai succès un rôle du centre des services diplomatiques polonais jusqu’au premier partage.
Pendant la diète de partage de 1773-1775 l’on forma le Conseil Permanent dont le Département
des Affaires Étrangères assumait formellement les responsabilités (au moins une grosse partie) du
Cabinet. Pratiquement c’était le roi qui gardait une voix décisive en ce qui concerne la politique
étrangère. La victoire de l'opposition au début de la Diète de 4 ans contribua à la reprise de la
gestion du département des affaires étrangères et au contrôle de la politique étrangère de l’état.
Pendant la cadence de la Députation des Intérêts Étrangers (29 XII 1788 - 18 V 1791) l’on
augmenta considérablement le nombre des représentations diplomatiques à l’étranger. L’on initia
également les processus en vue de former peu à peu les cadres compétentes et les diplomates
professionnels. L’écartement de Stanislas Poniatowski des affaires étrangères fut de courte durée.
En mars 1790 après l’approbation de l’alliance prusse, le roi récupéra les possibilités réelles
d’influencer la politique étrangère de l’état.
Après la Constitution de 3 mai eurent lieu de gros changements dans l’organisation du
service étranger en Pologne. En tête de la diplomatie on mit le ministre des afTaires étrangères
dans le Garde des Droits (c’etait un homme jouissant de la confiance du roi - J. Chreptowicz).
Du point de vou formel et réel, la gestion de la diplomatie polonaise et de la politique
étrangère revint donc au roi Stanislas August. Les partisans du grouppement patriotique
remirent dans les mains du roi la politique étrangère en comptant sur les entretients avec la
cour russe par l’intermédiaire du roi. Le manque d’initiative royalle dans ce domaine mena
pourtant à la consolidation de l’opposition conservatrice, à la confédération de Targowica et
à l’invasion des troupes russes en Pologne. Les militants du grouppement patriotique,
conscients des erreurs commises et déçus par l'altitude du roi peu de temps après déclinèrent
sur lui toute la responsabilité pour la crise des réformes et l’échec de la politique étrangère.
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