Uwagi na temat antyheretyckiego ustawodawstwa cesarza Konstantyna Wielkiego
Streszczenie
L'empereur Constantin le Grand publiait les édits très sévères contre les
hérétiques et les schismatiques. En réalité il n'était pas si rigoureux pour eux. Les
mesures de force contre les donatistes, l'empereur cessa de l'employer après quatre
ans. Arius et ses partisans étaient rappelés de l'exil dans le courant de quelques
années après le concile de Nicée. Constantin faisait aussi des exceptions à la loi
antihérétique constituée par lui-même, comme cela avait eu lieu dans le cas des
novaciens (l'édit de Spoleto à 326). Par contre, dans la constitution impériale dirigée
contre les hérétiques, mentionnée par Eusèbe de Césarée et Sowmène, on passait
sous silence les ariens, les méléciens et les donatistes, alors ceux qui causaient
à l'empereur beaucoup d'embarras. C'est pourquoi quelques-uns des chercheurs
voient en Constantin le souverain faible et chancelant. Je ne partage pas cette
opinion. Pour Constantin, le principe de la politique religieuse était faire ramener
la paix et l'unité de l'Église. Mais au début de son règne il indiquait et condamnait
les coupables, en leur faisant subir des mesures de répression, tandis que plus
tard, après l'année 321, loin de chercher les coupables, il tendait à des solutions
de compromis. Sa politique envers les hérétiques et schismatiques est devenu, dans
sa forme majeure, très élastique. L'empereur n'était pas prévenu contre quiconque.
Il était ouvert aUX argumentations de la part des différents groupes au sein de
l'Église dont l'unité était très importante pour lui. Mais Constantin était aussi
réaliste, et pour être efficace, envers les hérétiques et schismatiques influents, il
était prêt aux concessions, par contre à l'égard de ceux ayant une faible représentation
il se montrait sévère.
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