Dyplomacja polska a waszyngtońska Konferencja Rozbrojeniowa (12 XI 1921 - 6 II 192)
Streszczenie
La diplomatie polonaise s'intéressait à la Conférence du désarmement à Washington bien que la Pologne ne participait pas à la Conférence. À Varsovie on prévoyait
entre autres, que durant la Conférence on discuterait le problème de la
réduction des armements terrestres. Les autorités civiles et militaires polonais
é taient d'avis, que la Pologne, nouvellement reconstituée, restant en mauvaises
relations avec deux puissances voisines — Allemagne et Russie Soviétique — devait
avoir une forte armée. Dans la moitié du 1921 l’armée polonaise comtait 430 mille
soldats et occupait la deuxième place en Europe après l’armée française (810 mille
soldats). La diplomatie polonaise soutenait la thèse de la France aliée — „d'abord la
sécurité, après le désarmement". Dans le Ministère dos Affaires Étrangères en Pologne on était convaincu que la délégation française a Washington, avec A. Briand
en tête, va s’opposer efficacement aux eflorts de la réduction des armées de terre
de la France et Pologne. La phase initiale de la Conférence de Washington a été
suivie en Pologne avec une grande attention. Conformément aux suppositions antérieures,
la délégation britannique demandait la discussion simultanée sur le désarmement
naval et terrestre. Le bruit a couru qu’à Washington on, discutait la réduction
des forces armées polonaises. La diplomatie polonaise a fait des démarches
à Washington et à Paris, soulignant, quo le délégué de la Pologne doit participer
à la discussion éventuelle sur le problème du désarmement terrestre. Avec le sentiment
de satisfaction on a reçu à Varsovie la nouvelle, que Briand avait réussi
à faire écarter le problème du désarmement terrestre du programme de la Conférence.
Cela a été bien apprécié par les diplomates polonais, les dirigeants militaires
et la presse. Au moment où l’on a éliminé le problème du désarmement
terrestre, en Pologne on a arrêté un peu des discussions à Washington. A Varsovie il y avait l'opinion que la rénonciation de la France concernant la limitation
des armements navals allaiblissait la puissance de la France alliée.
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