Udział delegacji brytyjskiej w pracach Komisji Wojskowej Paryskiej Konferencji Pokojowej (16 sierpnia-6 października 1946)
Streszczenie
Le but de la Conférence de Paix de Paris qui s’est tenue du 29 juillet au 15 octobre
1946, était de determiner le contenu des traités de paix pour la Bulgarie, la Finlande, la
Roumanie, la Hongrie et l’Italie. Dans ces traités, les éléments importants étaient les clauses
militaires qui limitaient l’état des forces des anciens alliés du III eme Reich et qui déterminaient
la quantité et la qualité de leurs équipements. Ces problèmes ont été traités par la Commission
Militaire qui tenait conseil du 16 août au 6 octobre 1946.
La délégation britannique, a la tete de laquelle était Albert V. Alexander a eu une inlluence
importante sur le contenu des clauses militaires préparées par la Commission. L’affaire a priori,
pour les représentants du gouvernement de Londres était de ne pas permettre les renégociations sur
la réduction des forces militaires des pys vaincus, déterminée pendant la séance du Conseil des
Ministres des AlTaires Etrangères a Paris (avril-juillet 1946). Les délégués britanniques contrôlaient
habilement la séance, ne permettant pas aux représentants de l’Union Soviétique de forcer les
propositions de renforcer l’armée bulgare et de réduire les forces italiennes. La tactique réalisée par
V. Alexander envers tous les anciens alliés du III eme Reich n’était pas fondée uniquement sur la
défense des clauses militaires formulées auparavent. Les Britanniques ont proposé beaucoup de
modifications dont certaines sont entrées dans tous les traités. Parmi elles, il faut compter la
proposition qui défendait la production et l’utilisation des torpilles a propulseur et l’interdiction de
posséder des bateaux lance-torpilles. Un succès important a été l’adhésion dans le travail de
l’Equipe Internationale de Déminage des Eaux Européennes d’une partie des forces maritimes de
Finlande et d’Italie. Le succès des initiatives prises par Alexander et ses collaborateurs dépendait
de la collaboration avec les délégations des Etats-Unis et des pays de l’Europe de l’ouest. Sans
l’appui réciproque que ces pays se sont donnés, il n’aurait pas été possible d’imposer la majorités
des propositions britanniques.
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